Festival d'Astronomie de Fleurance
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Laurent CASTAIGNEDE
Laurent Castaignède est ingénieur diplômé de l’École Centrale Paris. Après avoir œuvré dans la construction de bâtiments puis durant ...
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Комментарии

  • @didierseverac
    @didierseverac 7 минут назад

    c'est troulbanc !

  • @MusculationLibre
    @MusculationLibre 8 часов назад

    Cette conférence d'Aurélien Barrau a mis de l'ordre dans mes connaissances tout en ouvrant de nouvelles portes de réflexion. Un grand bravo à lui.

  • @10bluewhiteify
    @10bluewhiteify 10 часов назад

    Tout ça c'est une histoire d'occidental l'être et le néant etc etc.. Tout ce discours est du blabla. Qu'il provienne d'Étienne Klein ou pas Évidemment l'univers existe de toute éternité.

  • @davdim9415
    @davdim9415 3 дня назад

    Comme d’habitude conférence intéressante Comme d’habitude la minute ingratitude woke (l’occident c’est des méchants) Comme d’habitude le tout enrobé dans un phrasé ampoulé digne d’un sketch des inconnus sur Indochine « et vice et versa » Comme d’habitude, comme d’habitude…tout le monde applaudit 🎉🎉. C’était ma dernière de ce monsieur donneur de leçons, j’en peux plus

  • @berdyberdy7784
    @berdyberdy7784 3 дня назад

    Super conférence , merci pour le partage.

  • @martingadoury2768
    @martingadoury2768 4 дня назад

    ok oui mais change absolument rien a savoir cela juste vivre sa vie

  • @zoltex2584
    @zoltex2584 4 дня назад

    des millions d'être intelligent dans les galaxie. fais gaffe il vont te pendre

  • @clairelachaud2850
    @clairelachaud2850 5 дней назад

    Merci infiniment ❤

  • @georgesjuan4471
    @georgesjuan4471 5 дней назад

    aucun plaisir a ecouter ce type

  • @dutch6390
    @dutch6390 7 дней назад

    Moi perso ..je valide le concept de la paire de Converse jaune...et ça c'est beau 🤙😉

  • @francoisgirard8399
    @francoisgirard8399 7 дней назад

    en littérature on a eu Proust. en physique on Barrau. l'exemplification du mot : verbeux.

  • @kanjilechien7914
    @kanjilechien7914 7 дней назад

    Sympa la conférence, Aurélien, mais les allusions politiques, l’autoflagellation de la civilisation occidentale qui est à la base de 99% de la science que tu prétends connaître, et une certaine dose de digressions pas forcément utiles ne contribuent vraiment pas au plaisir de l’écoute.

    • @persopro3287
      @persopro3287 6 дней назад

      Intéressant mais les mots sont importants! Il s'agit là d'une conférence, pas d'un cours! Si vous vous interressez aux connaissances expliquées dans cette conférence je vous suggère des ouvrages audio ou physique bien plus détaillés et moins vulgarisés. Aurelien Barrau dans sa conférence, à tout à fait le droit de digresser sur de la politique bien que ce ne soit pas le sujet principal. En parlant de sujet, etre reconnaissant et instruit au sujet de la science moderne issue de notre société occidentale n'en empeche pas de critiquer cette meme societé meme bien au contraire la science c'est certes trouver des réponses mais c'est aussi se rendre compte de ses erreurs... erreurs souvent reflets de nos modes de pensés très liés à notre... SOCIÉTÉ, la science et la société sont donc très pertinents à conjecturer. Bien à vous.

    • @davdim9415
      @davdim9415 3 дня назад

      Je suis tout à fait d’accord sur le concept « d’autoflagellation ». J’ai visionné de nombreuses interventions et c’est systématique. Raz le bol

    • @arnaudpeyron7100
      @arnaudpeyron7100 3 дня назад

      Ce n'est pas parce que ça ne vous plaît pas que ce n'est pas juste.

    • @kanjilechien7914
      @kanjilechien7914 3 дня назад

      @@arnaudpeyron7100 Ce n'est pas parce que ça vous plait que c'est juste.

  • @lucienmetz7701
    @lucienmetz7701 7 дней назад

    un festival ! du grand Barrau

  • @xbailleau
    @xbailleau 8 дней назад

    Aurélien Barrau est brillantissime quand il parle d'autre chose que de cataclysme de la biodiversité

    • @ogechter
      @ogechter 7 дней назад

      Il est brillant aussi quand il parle de catastrophe. Et il est juste. Le pb, c’est que la catastrophe déplaît et on refuse d’avoir sa lucidité

    • @xbailleau
      @xbailleau 7 дней назад

      @@ogechter je ne pense pas qu'il soit très exemplaire concernant sa lucidité, parler d'écologie alors qu'il a déjà été vu avec une rolex de plusieurs milliers d'euros au poignet me semble assez inconvenant

    • @fizirus
      @fizirus 3 дня назад

      Source? (Je veux savoir quel modèle de Rolex pour acheter la même)

    • @xbailleau
      @xbailleau 3 дня назад

      @@fizirus c'est bien connu, il porte une rolex submariner à 8000 euros montée sur un bracelet en or, pour un fervent adepte de la décroissance massive, ça fait marrer

  • @christopheleroy-dossantos1114
    @christopheleroy-dossantos1114 8 дней назад

    Étant donné la manière dont Jonathan Millet a réalisé ce film, seul dans son coin en travestissant sa genèse et son contenu, ce n'est pas surprenant qu'il n'ait pas plu...: ruclips.net/video/TWWqDs7rhX8/видео.html

  • @djgilfromlh929
    @djgilfromlh929 9 дней назад

    L’habit ne fait pas le moine. Mais bon… les goûts de chiottes ça existe visiblement !

  • @alanaliyev456GT
    @alanaliyev456GT 9 дней назад

    je dis ça car à chaque fois qu on vole, c'est toujour en millieu lumineux

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 9 дней назад

    L'univers en rebond ; avant le big-bang Notre Univers ne serait pas né avec le Big Bang : un univers préexistant se serait effondré sur lui-même avant de rebondir et d'entrer de nouveau en expansion. C'est ce que suggèrent certaines propriétés de la théorie de la gravitation quantique à boucles, ou « théorie du grand rebond ». Très schématiquement, la théorie de M Bojowald est la suivante : on peut prolonger la structure de l'espace-temps avant le temps zéro, c'est-à-dire celui du Big Bang supposé ; il y a alors un « avant Big Bang ». Si l'on représente le facteur d'expansion de l'Univers au cours du temps, celui-ci effectue un mouvement rappelant celui d'une balle rebondissant éternellement de façon élastique (Bouncing Universe). C'est dire si cette théorie ouvre la voie à une réflexion qui va bien au-delà de la physique quantique, jusqu'aux confins de la métaphysique. L'auteur ne se prive pas de nous y entraîner ; il nous explique clairement et sans formule mathématique les fondements physiques de sa théorie. Il entraîne son lecteur vers un voyage passionnant dans le passé de L'Univers.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 9 дней назад

    Y a-t-il eu un commencement à l’Univers ? La Société d'Astronomie Populaire de Limoges a le plaisir de vous inviter à sa 39ᵉ conférence d’astronomie qui aura lieu le Jeudi 16 mai 2024 à 20H30 à l’amphithéâtre Billy de la Faculté des Sciences et Techniques, 123 avenue Albert Thomas. Patrick Peter, Physicien théoricien, Directeur de l’Institut d’Astrophysique de Paris, animera cette conférence intitulée « Y a-t-il eu un commencement à l’Univers ? ». Le modèle standard du Big-Bang où l’univers est en expansion pendant toute son existence est communément admis par l’ensemble de la communauté scientifique spécialisée en cosmologie. Ses prédictions sont confirmées, mais requièrent certains ajustements et, notamment, l’existence d’une phase dite d’inflation au cours de laquelle l’univers a « gonflé » de manière exponentielle pendant un cours intervalle de temps. Des alternatives sont possibles, qui demandent une phase de contraction et un rebond… et donc, une absence de commencement ! Patrick Peter décrira le modèle standard, ses hypothèses, ses prédictions, ses problèmes, et discutera les alternatives permettant de comprendre ses tout premiers instants. Cela nous plongera dans les arcanes des théories les moins intuitives connues de la physique, empruntant autant à la relativité générale d’Einstein qu’à la mécanique quantique. Conférence organisée avec le soutien de la Région Nouvelle-Aquitaine, de l'Université de Limoges, de la Faculté des Sciences et Techniques de Limoges, et de l'Institut de Recherche sur l'Enseignement des Mathématiques de Limoges.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 9 дней назад

    Et s'il y avait eu un « avant-big-bang » ? Un monde qui se serait effondré sur lui-même avant de rebondir et d'entrer de nouveau en expansion ? En faisant remonter l'espace-temps avant le fameux « point 0 » - moment où le volume de l'univers est nul et sa densité ainsi que son énergie sont infinies -, Martin Bojowald montre dans ce livre passionnant que l'univers se comporte comme une balle, rebondissant indéfiniment dans une succession de cycles de contraction-expansion d'environ 14 milliards d'années. Le Big Bang serait en réalité un Big Bounce, un « grand rebond », transition entre un univers en effondrement et un univers en expansion. On peut alors se demander si ces cycles reproduisent l'univers de façon identique, dans un éternel recommencement du zéro à l'infini et de l'infini au zéro. La réponse à cette question est fascinante : notre univers aurait été précédé de son quasi-jumeau. Spécialiste de la conciliation entre physique quantique et relativité générale, Martin Bojowald retrace de façon claire et sans formules le cheminement qui, de la théorie atomique aux dernières données de l'astrophysique, l'a conduit à formuler cette hypothèse, puis à en déduire un ensemble de réflexions sur l'Univers et son avenir.

  • @jefsele
    @jefsele 9 дней назад

    Comme c’est clair !! C’est exactement ce que je voulais entendre j’étais paumé

  • @aymericdoucet6289
    @aymericdoucet6289 10 дней назад

    Il est passé chez le dentiste on dirait. Toujours aussi génial.

  • @jean-yveslg719
    @jean-yveslg719 10 дней назад

    Pourquoi M. Barreau n'examine-t-il pas en profondeur la proposition du modèle Janus avec son espace bimétrique qui parvient à expliquer plus de 15 phénomènes sur lesquels le modèle standard est en échec ?

    • @ogechter
      @ogechter 7 дней назад

      Parce que ce modèle est défendu en depit du bon sens par des non scientifiques ? Parce que ce modèle est une theorie mineure qui n’a pas fait ses preuves expérimentales et predictives ?

  • @user-fck000cvlgpdmz
    @user-fck000cvlgpdmz 10 дней назад

    Des voitures électriques fabriquées en Chine (par des esclaves) grâce à des centrales au charbon et qui roulerons dans des pays utilisant aussi le charbon pour produire de l'électricité, ça semble aussi délétère que les voitures thermiques.

  • @Hakaan911
    @Hakaan911 10 дней назад

    finalement aucune réponse sur la question

  • @sylvainjodeau9086
    @sylvainjodeau9086 11 дней назад

    L'électricité se déplace à la vitesse de la lumière mais sans se déplacer réellement (c'est juste un électron qui en chasse un autre puis revient à sa place) il faut donc une structure pour que l'électricité circule. Lorsqu'on se déplace, est on sûr que ce sont nos atomes (qui nous composent) qui se déplacent ou notre organisme (ou notre main) n'est pas recomposée instantanément (enfin à la vitesse où on se déplace) par reconfiguration des atomes ambiants, une sorte de téléportation permanente qui dépend de la proximité entre le lieu de départ et le lieu d'arrivée (un peu comme une image est créée sur un écran, ça n'est pas l'image elle même qui se déplace mais les points de la matrice qui se réorganisent pour reformer l'image), en gros, la vitesse créerait le mouvement de la matière. La question sous jacente est : "a-t-on besoin de baigner dans de l'énergie ou de la matière pour pouvoir se déplacer ou peut on traverser le vide parfait donc si on atteint la limite de l'univers, peut on s'aventurer au delà sans mourir? Est-ce que l'horizon du trou noir est la limite de notre univers (puisque les lois physiques changent dans un trou noir)?

  • @bobbybrown8972
    @bobbybrown8972 11 дней назад

    Je m interresse à l astronomie depuis plus de 40 ans et cet homme est vraiment impressionnant je le vois comme le plus grand génie dans son domaine

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    Le Big Bounce ou Univers phénix est un modèle cosmologique théorique hypothétique spéculatif controversé non démontré du destin de l'Univers, à base d'un modèle cyclique de succession de Big Bang et de Big Crunch.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    D'après ce que je comprends, la théorie du « Big Bounce » est un concept selon lequel l'univers est considéré comme ayant existé à travers de multiples expansions (« Big Bangs ») et contractions (« Big Bounces ») afin que l'univers soit considéré comme ayant existé à travers de multiples expansions (« Big Bangs ») et contractions (« Big Bounces »). être d'un âge infini. Voici quelques références…

    • @dutch6390
      @dutch6390 7 дней назад

      Presque , je dis bien presque 👍

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    Qu’est-ce qui a causé le Big Bang ? Nous ne le saurons peut-être jamais avec certitude, mais certains scientifiques ont suggéré qu'il pourrait y avoir eu de nombreux big bangs, l'univers s'étendant après chacun, puis rétrécissant à nouveau. Cette théorie est appelée le Big Bounce car le processus se répète.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    James Webb a la capacité de regarder très loin dans l'espace, et par conséquent, très loin dans le passé. En effet, la lumière a beau se déplacer à la vitesse vertigineuse de 300 000 kilomètres par seconde, l'Univers est si vaste que certaines images qui nous parviennent aujourd'hui ont des milliards d'années !

    • @MaissaPrincesse
      @MaissaPrincesse 11 дней назад

      Il tourne en rond en évitant de parler de Jean Pierre Petit le seul capable de soumettre les fabulateurs à leurs propres contradictions . Jette un œil sur ses travaux .

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    James Webb fait une découverte intrigante dans le jeune Univers Le télescope spatial James Webb (JWST) a récemment fait une découverte qui bouleverse notre compréhension des premières galaxies et de l’origine des éléments essentiels à la vie. Les astronomes ont en effet détecté un nuage de carbone dans une galaxie lointaine, compacte, telle qu’elle apparaissait seulement 350 millions d’années après le Big Bang. Cette observation marque la première détection d’un élément autre que l’hydrogène dans l’Univers primordial. Les recherches antérieures sur la formation des éléments dans l’Univers primitif suggéraient que le carbone, un élément essentiel pour la vie telle que nous la connaissons, n’avait commencé à se former en grande quantité qu’environ un milliard d’années après le Big Bang. Cette hypothèse était basée sur plusieurs observations et modèles théoriques de l’évolution stellaire et de la nucléosynthèse. Dans le détail, après le Big Bang, l’Univers était principalement composé d’hydrogène, d’hélium et de traces de lithium. Les éléments plus lourds, connus sous le nom de métaux en astronomie, ont été créés dans les intérieurs brûlants des premières étoiles. Ces dernières, appelées étoiles de Population III, étaient très massives et de courte durée de vie. On pensait jusqu’à présent que ces étoiles massives produisaient principalement de l’oxygène et d’autres éléments lourds, mais peu de carbone. Les modèles standards prédisaient en effet que cet élément se formerait en quantités significatives dans les générations d’étoiles suivantes (Population II) qui sont moins massives et ont des processus de fusion nucléaire différents. Selon ces modèles, il aurait fallu plusieurs cycles de formation et de destruction d’étoiles pour enrichir l’Univers en carbone. Pour ces raisons, les grandes quantités de carbone nécessaires à la formation de planètes rocheuses et potentiellement à la vie étaient donc supposées apparaître très tardivement après le Big Bang, d’où l’intérêt de cette découverte. De récentes observations montrent en effet que le carbone s’est formé beaucoup plus tôt que prévu. Selon les chercheurs, cet élément pourrait même être le « métal » le plus ancien de tous. La galaxie GS-z12 et ses secrets Pour faire cette découverte, les astronomes ont utilisé le spectrographe proche infrarouge du télescope James Webb dans le but d’observer une ancienne galaxie connue sous le nom de GS-z12. En décomposant la lumière de cette galaxie en un spectre de couleurs, les chercheurs ont ainsi pu lire l’empreinte chimique de cet objet primitif développé seulement 350 millions d’années après le Big Bang. Ils ont alors trouvé un mélange de traces d’oxygène et de néon avec un fort signal de carbone. La manière dont ce carbone a pu se former si tôt dans l’Univers reste incertaine. Les chercheurs suggèrent que cela pourrait être dû à l’effondrement d’étoiles avec moins d’énergie qu’on ne le pensait initialement. Dans ce cas, le carbone aurait pu se former dans les coquilles externes des étoiles et s’échapper dans l’Univers primitif au lieu d’être aspiré dans des trous noirs. La détection de carbone si tôt a néanmoins des implications majeures pour la recherche de la vie ailleurs. En effet, étant donné que cet élément est considéré comme fondamental pour la vie telle que nous la connaissons, il n’est donc pas nécessairement vrai que la vie ait évolué beaucoup plus tard dans l’Univers. Les résultats de cette recherche ont été acceptés pour publication dans la revue Astronomy & Astrophysics, et une version préimprimée est disponible sur arXiv.

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    Notre Univers pourrait avoir un jumeau, où le temps s'écoule à rebours L'Univers est en perpétuelle expansion accélérée, un phénomène qui intrigue les scientifiques depuis des décennies. Derrière ce mystère se cache potentiellement un concept intriguant: l'existence d'un anti-Univers dont le temps s'écoulerait à rebours par rapport au nôtre. Cette théorie pourrait bouleverser notre compréhension cosmique. Les théories actuelles, telles que Lambda-CDM, reposent sur la constante cosmologique pour expliquer l'expansion accélérée. Cependant, cette approche présente des lacunes théoriques significatives. C'est pourquoi des alternatives comme la quintessence ou les théories de gravité modifiée ont vu le jour, tentant de résoudre l'énigme par divers moyens, y compris en postulant des dimensions supplémentaires. Un nouveau modèle propose une solution radicalement différente. Plutôt que de s'appuyer sur des concepts d'énergie noire ou de modifications gravitationnelles, il envisage un univers partenaire, un anti-Univers où le temps s'écoulerait de manière opposée. Cette idée, bien que novatrice, trouve des fondements solides dans la physique quantique et la relativité générale. D'un point de vue quantique, il est envisageable que l'Univers soit né sous forme de paire. Ainsi, selon la symétrie CPT (Charge, Parité et Temps), l'Univers après le Big Bang pourrait être le reflet de l'Univers avant celui-ci. Boyle et ses collègues ont proposé que notre Univers et son anti-Univers partenaire respectent cette symétrie, apportant une nouvelle dimension à notre compréhension cosmique. Représentation d'une paire Univers/anti-Univers. Crédit: Wikipedia, CC En se basant sur des principes de la relativité générale comme la condition d'énergie nulle et des concepts quantiques tels que l'entropie relative, il a été démontré que l'expansion accélérée est une conséquence naturelle de cette symétrie. L'entropie relative, nécessitant deux états, correspond parfaitement à l'Univers et à son anti-Univers, rendant cette théorie cohérente et élégante. Ainsi, selon cette nouvelle théorie, l'expansion accélérée de notre Univers pourrait être intrinsèquement liée à l'existence d'un anti-Univers partenaire. Cette nouvelle approche, en s'appuyant sur des théories établies sans recourir à des éléments hypothétiques comme l'énergie noire, offre une perspective potentiellement révolutionnaire pour la cosmologie moderne.

    • @dutch6390
      @dutch6390 7 дней назад

      C'est quasiment ça...bravo...mais quasiment 👍

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    Découverte d’une nouvelle forme de matière induite par une température atomique inférieure au zéro absolu En amenant un nuage d’atomes à une température inférieure au zéro absolu, dite « absolue négative », des physiciens ont constaté qu’ils semblaient présenter un état quantique jusqu’à présent inconnu. À cette température, les atomes pouvaient notamment être organisés selon des motifs géométriques spécifiques et complexes appelés « réseaux de Kagome ». La substance quantique résultante pourrait être une toute nouvelle forme de matière. Dans les années 1800, Lord Kelvin a défini l’échelle de température en affirmant qu’aucune matière ne peut aller en dessous du zéro absolu (0 Kelvin, soit environ -273,15 °C). Cependant, les physiciens ont découvert plus tard que la température absolue d’un gaz est proportionnelle à l’énergie moyenne des particules qui le composent. La température absolue est la température mesurée à partir du zéro absolu, qui correspond à l’état au cours duquel les particules ne possèdent plus d’énergie cinétique (donc immobiles). Une température plus élevée correspond, quant à elle, à une énergie cinétique donnée. Cependant, des physiciens ont découvert dans les années 1950 que ce principe n’était pas toujours valable, notamment en raison de la manière dont l’énergie est distribuée entre les atomes. Le zéro absolu correspond à l’état dans lequel les particules ont une entropie minimale. Pour les ensembles d’atomes présentant une température absolue positive, seuls quelques-uns se déplacent avec une énergie cinétique élevée, tandis que la plupart ont un niveau d’énergie faible. En revanche, cette distribution d’énergie s’inverse lorsque les atomes sont exposés à une température absolue négative. En d’autres termes, ceux se déplaçant avec une énergie cinétique élevée deviennent plus nombreux que ceux possédant une énergie plus faible (entropie maximale). Les particules aux températures absolues négatives possèdent ainsi plus d’énergie que celles aux températures absolues positives. Paradoxalement, les premières sont donc techniquement « plus chaudes » que les secondes. La combinaison des deux ferait circuler l’énergie ou la chaleur des unes (à l’absolu négatif) vers les autres (à l’absolu positif). En explorant cet étrange état des particules en contrôlant leurs niveaux d’énergie et leurs états quantiques, des chercheurs de l’Université de Cambridge ont découvert que la matière présentait un état inhabituel. Selon les experts, l’expérience n’a été possible qu’en utilisant les principes de la mécanique quantique et non ceux de la thermodynamique. Leurs travaux ont été présentés le 5 juin 2024, à l’occasion de la réunion annuelle de la Division de physique atomique, moléculaire et optique de l’American Physical Society à Fort Worth, au Texas. Un comportement similaire à l’énergie noire ? Dans le cadre de son expérience, l’équipe de Cambridge a placé un nuage contenant des milliers d’atomes de potassium dans une chambre à vide, puis les a exposés à une température proche du zéro absolu. Pour ce faire, les chercheurs ont utilisé des lasers et des champs magnétiques. « Nous utilisons des atomes neutres dans des réseaux optiques comme simulateurs quantiques analogiques », ont-ils expliqué dans leur étude. Cela a entre autres permis de contrôler les états quantiques et énergétiques des atomes, de sorte à les amener à une température absolue négative. À noter que ces mêmes chercheurs ont déjà réalisé une expérience plus ou moins similaire en 2013, en utilisant un gaz quantique ultrafoid composé d’atomes de potassium. Les lasers et les champs magnétiques avaient permis d’arranger les atomes individuels au sein d’un réseau. À des températures absolues positives, les atomes se repoussaient, rendant la configuration instable. En revanche, les températures absolues négatives (induites en ajustant le champ magnétique) les ont amenés à s’attirer entre eux, rendant ainsi le système plus stable. « Cela fait passer soudainement les atomes de leur état d’énergie le plus stable et le plus bas à l’état d’énergie le plus élevé possible, avant qu’ils ne puissent réagir », a expliqué dans un article de blog de la revue Nature l’un des auteurs de l’étude, Ulrich Schneider, de l’Université de Cambridge. « C’est comme marcher dans une vallée et se retrouver instantanément au sommet d’une montagne », a-t-il ajouté. Les experts en ont déduit que cet état pourrait conduire à une nouvelle forme de matière. Le protocole de la nouvelle expérience a été amélioré dans ce sens, en incitant les atomes à s’arranger selon des motifs complexes hexagonaux et triangulaires appelés réseaux de Kagome. Les chercheurs ont alors constaté que les atomes pouvaient être amenés à présenter des états quantiques au cours desquels leur énergie provient de l’interaction avec d’autres atomes. Cependant, de façon étonnante, ils ne présentaient aucune énergie cinétique. Il est intéressant de noter que le gaz exposé à une température absolue négative se comporte de manière similaire à l’énergie noire, la force hypothétique qui serait entre autres responsable de l’accélération de l’expansion de l’Univers et qui s’oppose à l’attraction gravitationnelle. Schneider et ses collègues ont constaté, au cours de leur précédente expérience, que les atomes attirés les uns par les autres doivent normalement être influencés par la gravité, mais ne le sont pas en raison de la stabilité induite par l’absolu négatif. En prochaine étape, les chercheurs prévoient d’explorer plus avant les propriétés exactes de cette nouvelle matière.

    • @dutch6390
      @dutch6390 7 дней назад

      2 voir 3 erreurs de commisent mais rien de significatif...bravo 👍

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    Hartle et Hawking suggèrent que si nous pouvions remonter le temps de l'Univers, nous remarquerions que tout près de ce qui aurait dû être le début, le temps cède la place à l'espace de telle manière qu'il n'y a plus que de l'espace, et pas de temps. Le début d'un phénomène est un concept défini par le temps. Si le temps n'existait pas avant le Big Bang, le concept d'un commencement de l'Univers n'a plus de sens. D'après la proposition de Hartle-Hawking, l'Univers n'a donc pas d'origine, telle que nous le comprenons normalement. L'Univers, avant le Big Bang, était comme une singularité à la fois spatiale et temporelle. Ainsi, l'Univers tel que proposé par le modèle de Hartle-Hawking n'a pas de commencement. C'est cependant un univers différent de l'univers stationnaire de Hoyle. Il n'a simplement pas de limites initiales, ni dans le temps, ni dans l'espace[1].

    • @mehdicemoi13015
      @mehdicemoi13015 9 дней назад

      C est ce que semble nous montrer le telescope James Web en tout cas avec ces galaxies toutes proches dans le temps, du "point de départ". Esperons que les savants soient sages et acceptes de revoir leurs approches..ce qui est difficile pour l ego du scientifique..

    • @dutch6390
      @dutch6390 7 дней назад

      Brillant...mais quelques petites inepties se sont glissées dans ton développement.... à corriger 😉

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    L’aube cosmique dévoilée : la galaxie la plus ancienne jamais observée par le télescope James Webb Le télescope spatial James Webb a récemment détecté les deux galaxies les plus anciennes et éloignées de l'Univers, remontant à seulement 300 millions d'années après le Big Bang. Cette découverte repousse les limites de notre compréhension de l'Univers primitif. Le télescope James Webb (JWST) a découvert les galaxies JADES-GS-z14-0 et JADES-GS-z14-1, datant de 300 millions d'années après le Big Bang. Ces galaxies, parmi les plus anciennes observées, montrent des caractéristiques uniques comme la présence d'hydrogène et d'oxygène, et une luminosité due à de jeunes étoiles. La découverte repousse les limites de la compréhension de la formation des galaxies et promet de nouvelles révélations sur l'Univers primitif. Découverte inédite de l’Univers ancien grâce au James Webb Les astronomes utilisant le télescope spatial James Webb (JWST) ont découvert les deux galaxies les plus anciennes jamais observées. Nommées JADES-GS-z14-0 et JADES-GS-z14-1, elles datent de seulement 300 millions d’années après le Big Bang (âgé, lui, de 13,8 milliards d’années). Elles offrent une fenêtre sans précédent sur l’Univers primitif, éclairant les premières étapes de la formation galactique. La lumière de ces galaxies a voyagé pendant des milliards d’années avant d’atteindre le JWST. Étant extrêmement anciennes et lointaines, leur lumière s’étend vers les longueurs d’onde les plus longues. Un effet causé par l’expansion de l’Univers, ce qui les rend visibles uniquement en infrarouge. Cela n’est pas une difficulté pour le James Webb, qui se distingue par sa capacité d’observer ces longueurs d’onde grâce à sa caméra proche infrarouge. Caractéristiques exceptionnelles des galaxies les plus anciennes : taille et composition JADES-GS-z14-0, la plus éloignée des deux, mesure environ 1 600 années-lumière de diamètre. Contrairement à la plupart des galaxies lumineuses dont la luminosité provient de quasars (des trous noirs supermassifs), la brillance de JADES-GS-z14-0 est due à des jeunes étoiles en formation active. Cette caractéristique fait de cette galaxie une preuve distincte de la formation rapide de grandes galaxies massives dans l’Univers primitif. En outre, des signatures d’atomes d’hydrogène et potentiellement d’oxygène dans le gaz environnant ont été confirmées de manière spectroscopique par l’équipe JADES (JWST Advanced Deep Extragalactic Survey). Ces signatures, sont communes dans les jeunes galaxies en formation d’étoiles, « mais ici, elles se sont déplacées vers une longueur d’onde sans précédent », a déclaré Jakob Helton, chercheur à l’Université d’Arizona et auteur principal de l’une des deux études sur cette découverte et en cours de révision par ses pairs. JADES-GS-z14-0 et JADES-GS-z14-1 : implications pour l’astronomie et la cosmologie La découverte de ces galaxies repousse les limites de notre compréhension de la formation des premières galaxies à l’aube cosmique. Avant le JWST, le record de la galaxie la plus ancienne remontait à 400 millions d’années après le Big Bang. La découverte de JADES-GS-z14-0 et JADES-GS-z14-1 démontre que des galaxies massives et lumineuses se sont formées beaucoup plus rapidement que prévu. « Ces galaxies rejoignent une population petite, mais croissante de galaxies du premier demi-milliard d’années de l’histoire cosmique, où nous pouvons réellement sonder les populations stellaires et les schémas distinctifs des éléments chimiques qu’elles contiennent » a déclaré Francesco D’Eugenio, astrophysicien à l’Institut de Cosmologie de l’université de Cambridge et l’un des auteurs des études sur la découverte, dans un communiqué. « Ces galaxies rejoignent une population petite, mais croissante de galaxies du premier demi-milliard d’années de l’histoire cosmique, où nous pouvons réellement sonder les populations stellaires et les schémas distinctifs des éléments chimiques qu’elles contiennent » a déclaré Francesco D’Eugenio, astrophysicien à l’Institut de Cosmologie de l’université de Cambridge et l’un des auteurs des études sur la découverte, dans un communiqué.🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌠🌠🌠🌠

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 11 дней назад

    L’équipe du télescope spatial James Webb publie une nouvelle image de la galaxie Caldwell 21, distante de 12,5 millions d’années-lumière. Elle montre en détail l’intense formation d’étoiles qui y règne. Une explosion de couleurs et une profusion d’étoiles naissantes. C’est ce que révèle la nouvelle image de la galaxie naine Caldwell 21 (NGC 4449), située à 12,5 millions d’années-lumière. Elle a été réalisée dans l’infrarouge par le télescope spatial James Webb, avec ses instruments NIRCam et MIRI sensibles à eux deux aux longueurs d’onde entre 0,6 et 28 microns. Elle révèle ici en rouge les zones riches en hydrogène, et en orange la distribution des espèces chimiques carbonées. Ailleurs, la zone bleutée correspond à la population d’étoiles vieilles, tandis que les nurseries stellaires, où les naissances ont connu une accélération récente, brillent en jaune. L’indice d’une fusion récente ? Il est possible que l’augmentation de la formation d’étoiles dans Caldwell 21 soit due à la fusion de la galaxie avec une voisine plus petite. Ce genre d’évènement était commun au début de l’Univers, ce qui expliquerait en partie l’intense formation stellaire que l’on observe dans les lointaines galaxies primordiales. Ainsi, l’étude de Caldwell 21, relativement proche, peut aider les astronomes à comprendre la formation et l’évolution des galaxies dans l’Univers jeune.🌌🌌🌌🌌🌠🌠🌠🌠

  • @JhgffjPoubelle
    @JhgffjPoubelle 12 дней назад

    Merci. Les commandes pour les paquebots de croisières / avions / 4*4 etc. sont pleins. Et je ne parle même pas des éléments militaires, les navires ne tournent pas à la voile, les tanks à l'électrique, les avions ne sont pas des deltaplanes.

  • @NIQUETAMER
    @NIQUETAMER 12 дней назад

    LES TROUS NOIRS ÇA N'EXISTENT PAS !!!!!! SE RÉFÉRER AU MODÈLE JANUS DE JEAN-PIERRE PETIT C'EST LUI LE MEILLEUR ... CE SONT DES PASSAGES QUANTIQUES

    • @ms-lazuli7435
      @ms-lazuli7435 11 дней назад

      M. Petit n'est pas meilleur que M. Barrau, il énonce juste une théorie différente et seul l'avenir nous dira qui avait "raison" ou plutôt qui avait mieux compris la cosmologie.

  • @gckmp
    @gckmp 12 дней назад

    Hahaha... La tenue... Aurélien ou le parfait exemple du proverbe "il ne faut pas juger un livre a sa couverture". Plus sérieusement, encore une conférence "master class". Merci

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 12 дней назад

    En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution). Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”. Des villes végétales Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature. “Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot. Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”. Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030. Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants. Des forêts verticales Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.” À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ. Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🍃🦋🐌🐚🦑🦐🦞🦀🐙🦈🐡🐠🐟🦭🐬🐋🐳🦖🦕🐉🐲🐍🦎🐢🐊🐸🦜🦚🦩🪶🦤🦉🦢🦆🦅🕊🐧🐦🐥🐤🐣🐓🐔🦃🐾🦡🦘🦨🦦🦥🐼🐻‍❄️🐨🐻🦇🦔🦫🐿🐇🐰🐹🐀🐁🐭🦛🦏🦣🐘🦒🦙🐫🐪🐐🐑🐏🐗🐄🐃🐂🐮🦬🦌🦓🦄🐎🐴🐆🐅🐯🦁🐈‍⬛🐈🐱🦝🦊🐺🐩🐕‍🦺🦮🐕🐶🦧🦍🐒🐵

  • @shaddouida3447
    @shaddouida3447 12 дней назад

    Derrière l’utopie, la ville verte du futur est-elle possible ? En 2050, nous serons 6 milliards à vivre dans les villes. Comment pourront-elles tous nous nourrir, et éviter que la pollution ne rende l’air irrespirable ? Urbanistes et architectes planchent sur des projets destinés à créer demain des villes durables, voire autosuffisantes. Et leurs projets ne sont pas forcément utopiques. Beaucoup d’œuvres de science-fiction oublient une donnée quand elles imaginent le futur des villes : la nature. Mais depuis une quinzaine d’années, urbanistes, architectes et experts en environnement urbain dessinent les contours d’un tout autre type de cités. Des métropoles “végétales”, durables, et même autosuffisantes. Certains architectes, notamment en France et à Singapour, esquissent des concepts futuristes et un brin utopiques. Vincent Callebaut, architecte belge installé à Paris, imagine des villes où les immeubles seraient couverts d’arbres, de potagers, de panneaux solaires et d’éoliennes, formant des “villages verticaux”. Consulté par la Mairie de Paris pour imaginer le Paris de 2050, il a réalisé des prototypes de gratte-ciel “verts” et à “énergie positive”. Dans son scénario, la capitale se transformerait en une véritable cité végétale. Parmi les idées de son projet, baptisé “Paris Smart City 2050” : des tours maraîchères aux balcons potagers, des ponts habités enjambant la Seine, un corridor écologique de 23 kilomètres ponctué d’immenses immeubles photo-catalytiques “dépolluants” en forme de tubes ou d’alcôves, et de gigantesques fermes verticales. Une vision que l’on pourrait facilement estampiller comme de la science-fiction. Et pourtant, ce genre de projets, comme l’assure d’ailleurs l’architecte, ont tous été imaginés à partir de technologies déjà existantes, ou en cours d’étude dans les laboratoires. En outre, des projets urbanistiques de ce type ont réellement été lancés, avec des réalisations concrètes, qui permettent de toucher du doigt un futur possible pour les villes. Des villes de plus en plus denses Pour comprendre d’où viennent de telles idées que l’on pourrait considérer de prime abord comme fantaisistes mais qui semblent pourtant en passe d’être appliquées à grande échelle, il faut d’abord expliquer les enjeux vitaux qui se poseront bientôt à nos villes. Une hausse des températures et des catastrophes naturelles appelées à être de plus en plus fréquentes à cause du dérèglement climatique. Une pollution problématique de l’air et de l’eau, causée par les émissions de CO2 (produites à 80 % par les villes). Et une explosion démographique qui risque de tout aggraver. Selon l’ONU, la population mondiale devrait atteindre les 9,7 milliards d’habitants en 2050. Parmi eux, 75 % vivront dans les villes. Certes, l’urbanisation galopante devrait surtout se concentrer dans des pays en développement, comme l’Inde, la Chine et le Nigéria. Mais les villes occidentales, elles non plus, n’échapperont pas à la surpopulation. En France, selon l’Ined et l’Insee, nous serons entre 68 et 74 millions en 2050. Une augmentation de la population relativement contrôlée. Avec de plus en plus de citadins choisissant d’habiter à la campagne, prédit l’Inrae. Mais la part de la population urbaine en France devrait malgré tout continuer d’augmenter et passer de 80 à 90 %. Comme l’explique Mathieu Favriau, urbaniste et environnementaliste au cabinet Urban Hymns, les pouvoirs publics ont pour objectif de lutter contre l’artificialisation des sols et l’étalement urbain. “La solution : exploiter toutes les ressources foncières des villes. Donc tendre vers une densification urbaine importante”, indique-t-il. Des villes sans voitures La densification devrait d’abord les pousser à trouver des solutions pour contenir, puis baisser leur empreinte environnementale. Pour cela, de nombreuses métropoles, de Paris à Montréal, en passant par Oslo, Dubaï, Séoul et Madrid, tentent déjà de réduire le nombre de voitures, voire de les faire disparaître totalement des rues. Les rues se piétonnisent, les pistes cyclables se multiplient. Des villes sorties de terre, comme Chengdu en Chine et Masdar aux Émirats Arabes Unis, ont même été conçues dès le départ pour être entièrement dépourvue de voitures. Leurs plans directeurs prévoient que toutes les rues puissent être praticables à pied ou à vélo. Selon Chris Drew, du cabinet d’architectes SmithGill, les voitures seront, à terme, inutiles dans les “villes nouvelles” du futur : “les enfants pourront aller à l’école à pied et la population se trouvera à proximité de son lieu de travail.” Face à l’épuisement de leurs ressources naturelles, les villes tenteront aussi de se passer des énergies fossiles, en privilégiant les énergies renouvelables. Plusieurs, comme Strasbourg, se sont déjà engagées à devenir “carboneutres” d’ici 2030. Sylvain Grisot, urbaniste et président de l’agence d’innovation urbaine Dixit.net, est l’auteur d’un “Manifeste pour un urbanisme circulaire”. À la recherche “d’alternatives à l’étalement des villes”, il défend l’idée selon laquelle celles-ci n’auront d’autre choix que de se “recycler”. En “optimisant” ce qui a déjà été bâti et en réinvestissant les espaces libres, notamment ceux libérés par la disparition des voitures. Des “villes vertes intelligentes” Au pire, si l’on se base sur ce que prévoient les nombreux projets de “villes intelligentes” en cours de par le monde, les voitures qui continueront à circuler seront autonomes et électriques. D’ici 2050, les chercheurs prédisent la transformation de nombreuses villes en “smart cities”, où tout serait connecté, avec des systèmes d’IA et des réseaux de capteurs permettant une adaptation en temps réel des éclairages publics, des flottes de taxis autonomes et des feux de signalisation.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🐘🦣🦏🦛🐭🐁🐀🐹🐏🐑🐐🐪🐫🦙🦒🦬🐮🐂🐃🐄🐷🐖🐗

  • @NeoZoror
    @NeoZoror 12 дней назад

    Tous les objets tombent à la même vitesse, nous tombons avec une vitesse locale de 2.5 millions de km/h avec une accélération de 20G ce qui explique le "manque" de ces 95% de matière manquante ... nous vivons dans un trou noir dont l'horizon des évènements est la limite observable, là où l'espace s'étent plus vite que la lumière ... bref nous tombons vers le futur dans l'infiniment petit ... le quantique ... nous sommes dans l'intérieur d'un trou noir hypermassif de la taille de l'univers observable. Et nous allons vers le futur, un axe de dimension 4 suggerant la forme de l'hypersphère. La matière atomique est une mutation de l'hydrogène en d'autre éléments plus lourds qui forment le tableau des éléments par nucléosynthèse stellaire ou primordiale mais savez vous pourquoi le noyau des atomes est vide ? Non !? Parce qu'il y a une singularité au centre qui est faite d'un vortex en rotation si rapide qu'il dépasse la vitesse lumière angulaire et par conséquent prend de la masse et se stabilise en élément plus lourd. De même que la fission est un ralentissement de cette toupie qui forme le noyau pour repasser en dessous du mur lumière angulaire. Bref t'as compris le principe de la fusion et de la fission avec simplement des vitesses angulaires et la loi E= MC²

  • @antoinesuperpinpom9365
    @antoinesuperpinpom9365 13 дней назад

    Bonjour, merci de votre intervention :) Dans le débat des transports on cite beaucoup les transports de marchandise mais QUID des transports sanitaires ? 6 milliards d'euros d'euros de dépense publique en 2022 = un certain coût carbone pour la planète. Y a-t-il des solutions dans un futur bas carbone ?

  • @tontonbeber4555
    @tontonbeber4555 13 дней назад

    A 10:35 vous apportez un début de réponse à une question qui me turlupine depuis un bon moment ... La constante c est effectivement une constante structurelle de l'espace temps, et en ce sens on peut comprendre qu'elle puisse être la vitesse des ondes gravirationnelles, mais elle n'est pas liée théoriquement à la lumière qui résulte d'abord de l'électromagnétisme et donc finalement de la mécanique quantique. Elle n'est liée que par l'observation qui est fatalement bridée par la précision limitée des instruments de mesures. Bref la question qui me tarabusque est celle ci : serait il possible que la vitesse de la lumière dans le vide soit très légèrement inférieur à cette constante c ? J'entrevois déjà des conséquences révolutionnaires telles que la suppression de la nécessité de l'énergie sombre, l'accélération de l'expansion n'étant plus qu'une illusion d'optique liée au vieillissement des photons

    • @gegebeh3703
      @gegebeh3703 13 дней назад

      Bonjour, je ne pense pas non. Si je me rappelle bien mes études passées en sciences sup, on peut trouver la constante c par le calcul dans le cadre de la relativité et donc confirmée par l'expérimentation. La constante c correspond à quelque chose comme la nature propre de tout ce qui existe "dans" l'Univers. Pour le dire autrement, tout objet possédant une masse (couplé donc au champ scalaire) se "déplace" à la vitesse c dans l'espace-temps mais ne peut en aucun cas y accéder dans l'espace. Tout objet n'étant pas couplé au champ scalaire (masse nulle) se "déplace" à la vitesse c dans l'espace-temps ET dans l'espace. Cela semble être une "caractéristique", une loi de l'Univers apparemment inviolable aujourd'hui. Mais je pense que ça, tu le sais déjà et que ça n'exclut en rien, selon moi, ton hypothèse qui est pas mal du tout.

    • @tontonbeber4555
      @tontonbeber4555 13 дней назад

      @@gegebeh3703 Justement, mon hypothèse implique effectivement que les photons auraient une masse au repos non nulle, et donc interagiraient avec le champs de Higgs. Et ce serait cette interaction qui serait responsable au décalage vers le rouge (et donc plus un photon a voyagé longtemps plus il se décale vers le rouge), et donc on a une explication alternative à l'éloignement de la source par effet Doppler ... Mais bon évidemment tout cela n'est qu'hypothèse, mais si j'avais les moyens, je commencerais à réfléchir à un protocole qui permettrait de vérifier si expérimentalement, les ondes gravitationnelles et la lumière voyagent exactement à la même vitesse, ou s'il y a un décalage infinitésimal ... Je suis d'accord avec le fait que la constante c trouve son fondement dans le cadre de la relativité, qui et une théorie de gravitation, et donc que c soit la vitesse des ondes gravitationnelles est logique. Par contre l'électromagnétisme d'où provient la lumière n'a rien à voir avec la relatvité. C'est certes en mesurant la vitesse de la lumière et le fait qu'elle semble rester constante en changeant de référentiel que l'idée a été trouvée de postuler cette vitesse comme la vitesse limite c, mais peut être n'est-ce qu'une coïncidence et une approximation. D'ailleurs quand on étudie l'électromagnétisme, la vitesse de déplacement des ondes électromagnétiques est calculée à partir de deux constantes, la permittivité diélectrique et la perméabilité magnétique (dont la seconde est bizarrement définie en utilisant la constante c ... sorte de référence circulaire)

  • @flipart593
    @flipart593 13 дней назад

    Bravo mais il brode beaucoup autour du pot pour ce sujet (la vérité, entropie, origines de la physique...). Je pense qu'on peut enlever la moitié de la conférence qui est du blabla.

  • @tomlang4178
    @tomlang4178 14 дней назад

    Sacre Aurelien! Merci.

  • @vladimirlegrand2917
    @vladimirlegrand2917 14 дней назад

    Plus j'écoute ce gars, plus je m'éloigne de l'athéisme

  • @nicolas46ify
    @nicolas46ify 14 дней назад

    quel langage vulgaire. c'est son fond de commerce en plus. Impossible d'écouter cette dame

  • @AlfDeMelmac
    @AlfDeMelmac 14 дней назад

    « L’effet rebond » est trop souvent oublié. Merci.